Térésa
Te voilà partie
Ange avili
À l’haleine fétide
Nous riions de la souffrance
Comme seuls savent le faire
Ceux qui l’ont apprivoisée
Mais sous ta blouse fatiguée
Un foie distendu
Scellait ta destinée
Tu nous as quittés
Avec pour adieu
Une autre blague
Sordide
La douleur pudique
De ton regard ensanglanté
Ces épreuves insolubles
Faisaient pardonner
Ta langue acérée
Et ton rire indiscret
Je garde de toi
Nos demi-secrets
Moments de presque vérité
Un masque qui vacille
Des lunettes sombres
Immenses
Camouflent tant bien que mal
Une larme qui scintille
D’ange damné
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