Chroniques d’HP VI
Je
incomplète
imparfaite
rame à contre courant
contre l’incompréhensible
qui s’applique à casser le rythme de mon pas
de ma vie démantelée
Je me rends
à votre discours implacable
que vous ne dites plus mais s’écoule de vos regards curieux
Parce que finalement vos yeux me voient
et tuent les simulacres qui jamais ne perçaient la vérité
en mon cœur retranchée
Je sais
quand je partirai il n’y aura pas d’autre porte
et je reviendrai
Je reviendrai vers vous
drapée de l’absurdité où s’enfonce ma vie
Je sais ce qui m’attend.
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