Respire
Je me construis des histoires
Pour mieux éluder la vie
Mais si tu devais y croire
S’enlaceraient nos envies
Ensemble envers toute peine
Nous la ferions plus légère
À sa rumeur lointaine
Prenons le temps de notre air
Et nos chagrins en retard
Attendront d’autres matins
Ces jours-là en nos regards
Rien d’autre que du satin
Au désir de nos arômes
Tu reviendras t’allonger
Ma main là entre tes paumes
Contre tes maux respirer
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